

La mort d'un amour est comme la mort d'une personne bien-aimée.
Elle laisse le même chagrin, le même vide,
le même refus de se résigner à ce vide.
Même si on l'a attendue, causée,
voulue par autodéfense ou bon sens ou besoin de liberté,
lorsqu'elle arrive on se sent invalide. Mutilé.
Il nous semble être resté avec un seul ½il,
une seule oreille, un seul bras, une seule jambe,
un seul poumon, un demi-cerveau,
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